samedi 25 avril 2009

mardi 21 avril 2009

relais


La Lucarne des écrivains
115, rue de l'Ourcq — Paris, XIXe arr.

01 40 05 91 29
Métro Crimée, ligne 7

http://lucarnedesecrivains.free.fr/


Le paradis des cochons, vous connaissez ?
La pêche au bonheur, vous l'avez pratiquée ?
Eh bien ce paradis ou cette pêche, vous les trouverez
sous différentes formes à
La Lucarne des Ecrivains, cette semaine.

Armel Louis

jeudi 16 avril 2009

triste


cire


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sources : zamdatala — blog (11 avr.)

dimanche 12 avril 2009

récup’




description matérielle : petit sachet (7 x 5 cm) individuel en papier
(ici présenté vidé et en écarté) contenant quelques grammes
de cristaux purifiés de sucre — sac-à-roses
destiné à édulcorer yaourts naturels,
cafés, thés, chocolats,
jus de citron ou
d’orange
[…]

mercredi 8 avril 2009

hic (& nunc)



à la Villette on tranche le lard

le petit pan de muR


SEL


V Y

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photographies : Jacquie Bablet (2009, Paris, XIXe arr.)

lundi 6 avril 2009

(image recyclée)


JNP
36, rue de Québec
62100 CALAIS

(reçu ce jour)

samedi 4 avril 2009

Saint Barbeau


LOI DU 11 GERMINAL, AN XI
relative aux prénoms et changements de noms.
Titre premier. — Des prénoms.


Article premier. — À compter de la promulgation de la présente loi, les noms en usage dans les différents calendriers et ceux des personnages connus de l’histoire ancienne, pourront seuls être reçus, comme prénoms, sur les registres de l’état civil destinés à constater les naissances des enfants, et il interdit aux officiers publics d’en admettre aucun autre dans leurs actes.
Les contribuables sont invités à demander, en vertu de la loi ci-dessus dans toutes les mairies, communication du présent Almanach.

« Calendrier du Père Ubu pour 1901 »,
in Almanach illustré du Père Ubu (XXe siècle — 1er janvier 1901)
« très synthétiques dessins de Pierre Bonnard »

mercredi 1 avril 2009


— Hou ! Laissez-moi parler ! 
Et Bouvard s’échauffant, alla jusqu’à dire que l’Homme descendait du Singe !
Tous les fabriciens se regardèrent, fort ébahis, et comme pour s’assurer qu’ils n’étaient pas des singes.
Bouvard reprit :
 — En comparant le fœtus d’une femme, d’une chienne, d’un oiseau… 
— Assez ! 
— Moi, je vais plus loin ! s’écria Pécuchet. L’homme descend des poissons ! 
Des rires éclatèrent.

Gustave Flaubert, Bavard et Perroquet (chap. III)